Le secteur automobile belge représente 1% du PIB du pays. Si la production a légèrement diminué en 2016, les immatriculations ou ventes de véhicules neufs ont augmenté de 8,1% en 2016.
- Le secteur automobile belge représente 1% du PIB du pays. Si la production a légèrement diminué en 2016 (-2,4% à environ 400.000 unités), les immatriculations ou ventes de véhicules neufs ont augmenté de 8,1% en glissement annuel en 2016, et devraient croître à nouveau en 2017 (les immatriculations de voitures particulières neuves ont augmenté de 4% en glissement annuel au premier semestre 2017, d’après l’association belge de l’automobile (FEBIAC).
- Outre plusieurs grandes usines d’assemblage, la Belgique héberge un grand nombre d’entreprises axées sur l’exportation fabriquant des composants à haute valeur ajoutée, dont les opportunités commerciales sont bonnes vu l’accroissement de la demande mondiale en électronique automobile et en technologies sophistiquées. Cela étant, l’importance croissante du Big Data et de la technologie/ électronique embarquée, ainsi que le processus mondial de concentration du secteur, devraient conduire à moyen terme à davantage d’opérations de fusion et acquisition de fournisseurs de composants automobiles belges.
- Les marges de rentabilité du secteur automobile belge sont généralement satisfaisantes et devraient rester stables en 2017. Si de nombreuses entreprises sont endettées à long terme, les banques ne sont pas réticentes à apporter leur soutien.
- Le comportement de paiement dans le secteur a été bon au cours des deux dernières années et le nombre de retards de paiement et de faillites est faible. Les retards de paiement et les faillites d’entreprises diminuent depuis fin 2016, et nous ne prévoyons pas de dégradation dans les prochains mois.
- Nous évaluons le risque crédit et les performances des entreprises du secteur automobile belge comme «Bons» et notre politique de couverture reste ouverte pour tous les sous-secteurs.
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