Publications

India´s economic outlook for 2019 and 2020 remains robust with about 7% growth, but a weak banking sector and high corporate indebtedness are concerns.

Indonesia´s short-term economic prospects are generally positive, but it remains vulnerable to sharply decreasing capital flows to emerging markets.

Japan´s export growth will slow down due to lower global trade expansion, but domestic demand will underpin the economic expansion of about 1% in 2019.

The export sector increasingly benefits from relocation of export-oriented industries away from China, due to Vietnam’s relatively low production costs.

Private consumption and public infrastructure investments sustain Thailand´s economic growth in 2019 and 2020, but high household debt remains an issue.

Economic growth is expected to slow down somewhat in 2019 and 2020, mainly due to lower export growth and the cooling down of the Chinese economic cycle.

Due to its high dependency on international trade, Singapore is highly susceptible to global protectionism and a hard landing of the Chinese economy.

Major infrastructure investment is necessary in order to increase private investments and to safeguard high economic growth rates in the long term.

Due to its high dependency on international trade, South Korea is highly susceptible to global protectionism and a hard landing of the Chinese economy.

Taiwan´s economic expansion is likely to moderate in 2019 and in 2020, as both global trade growth and mainland China´s import demand have cooled down.

Après presque une décennie d'amélioration, 2019 devrait marquer la reprise des défaillances d'entreprises depuis la crise.

2019 devrait être une année difficile pour la construction, en raison de l’incertitude persistante au sujet du Brexit et de l’impact qu’il pourrait avoir sur la production et les investissements.

En 2019, la croissance des dépenses de construction devrait se poursuivre (+4,8%), mais à un rythme plus lent qu’en 2018 (+6,5%).

Dans le secteur de la construction, les paiements prennent en moyenne 70 jours et l’expérience de paiement au cours des deux dernières années a été plutôt mauvaise.

Le mauvais comportement de paiement des acheteurs publics reste un problème, car il met à rude épreuve les liquidités des fournisseurs.

Le niveau des paiements prolongés est élevé, et les retards de paiement et les faillites ont augmenté au second semestre 2018. Cette tendance à la détérioration devrait se poursuivre en 2019.

Le niveau d’insolvabilité est élevé par rapport aux autres secteurs et, après avoir connu une hausse en 2018, les faillites d’entreprises devraient encore augmenter au premier semestre 2019 de 5 à 10%

Le comportement de paiement s’est lentement détérioré en 2017 et 2018, et cette tendance négative devrait se poursuivre en 2019.

Dans le secteur belge de la construction, la situation actuelle de la demande est dans l’ensemble satisfaisante, avec des carnets de commandes bien remplis.

Outre la capacité de dépense encore faible, les conditions de prêt toujours serrées fixées par les banques restent l’une des principales raisons de la performance encore faible du secteur italien.

Les paiements dans le secteur prennent en moyenne 30-60 jours, et le niveau des paiements de longue durée, des notifications de non-paiement et des faillites était élevé en 2018.

Les retards de paiement principalement de la part d’acteurs importants continuent d’affecter négativement la gestion du fonds de roulement de nombreux petits acteurs dans tous les segments.

Les perspectives de croissance pour 2019 demeurent généralement favorables, avec une croissance prévue de 5% pour la construction résidentielle.

Malgré les nuages qui se dessinent à l'horizon, les perspectives d'exportation sur les marchés émergents suivant restent prometteuses : Bulgarie, Indonésie, Vietnam, Pérou et Maroc.

Les risques commerciaux à court terme ont diminué après la renégociation de l’ALENA.

L’incertitude de la politique commerciale est l’un des principaux risques pour les entreprises et les consommateurs américains en 2019.

Après des baisses de plus de 5% en 2016 et 2017, le nombre de faillites d‘entreprises devrait se stabiliser en 2018 et 2019.

Some larger players continue to push the supply chain on price and longer payment terms, adding cash flow challenges to mainly smaller food businesses.

Many food producers and processors struggle to pass on higher input prices, which is hampered by the high concentration and market power of retailers.

As the UK is a major Danish export market, a hard Brexit could trigger a significant decrease in Danish export of food and agricultural products.

Despite efforts of food exporters to diversify shipments away from Britain, a hard Brexit remains a major challenge, also for shipments to mainland Europe.

Growth is set to continue, but the strong export orientation makes many food businesses susceptible to trade disputes and price/currency fluctuations.

Many meat processors and producers suffer from higher procurement prices, while their ability to pass on those increases to retailers is limited.

Even the biggest food retailers are small compared to other major international players, and e-commerce is increasingly challenging traditional businesses.

The new Mexican government could launch policies in order to increase domestic production and put emphasis on domestic agricultural support programmes.

Higher input costs have increased the pressure on margins in recent years, with a recent draught in Australia having and additional negative impact.

The number of protracted payments in the sector is rather high as larger businesses use their leverage against suppliers by demanding long payment terms.

Il est courant que les départements Commercial et Finance aient des missions et des objectifs différents, mais dans l’intérêt de l’entreprise, une étroite coopération et synergie sont nécessaires.

The UK leaving the EU without a deal would be a major disruption, causing business insolvencies to be higher in the UK and EU27.

The USMCA has finally been signed on November 30, easing short-term uncertainty surrounding North American trade.

Le principal risque qui pourrait menacer le secteur serait une baisse des commandes des grands acheteurs, du secteur automobile en particulier.

Le comportement de paiement a été bon au cours des deux dernières années et le nombre de faillites d’entreprises sidérurgiques et métallurgiques est resté stable en 2018.

Selon la World Steel Association, la production d’acier espagnole a augmenté de 6,6% en 2017, pour atteindre 14,5 millions de tonnes, tandis que les exportations gagnaient 5,8%.

Le secteur bénéficie depuis fin 2015 d’un rebond des activités de la construction domestique, de la demande croissante de l’automobile et de l’accroissement des exportations.

La sidérurgie et la métallurgie françaises ne subissent que marginalement l’impact des barrières tarifaires américaines.

La durée moyenne de paiement étant de 115 jours, les entreprises opérant sur le marché domestique souffrent de cette lenteur de paiement de leurs clients.

Les délais de paiements dans le secteur sidérurgique et métallurgique chinois varient de 60 à 120 jours en moyenne. Le nombre et la valeur des retards de paiement et des faillites restent élevés.

Les retards de paiement et les faillites devraient augmenter jusqu’à ce que le nouvel accord commercial USMCA soit ratifié et que le problème des barrières tarifaires américaines soit résolu.

Outre les droits de douane punitifs et les barrières commerciales, d’autres défis structurels persistent, tels que la volatilité des prix des matières premières et les surcapacités.

Les mesures de sauvegarde prises par l'UE pour protéger le marché européen contre les importations excessives pourraient impacter le Roayume-Uni en cas de Brexit "dur".